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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 14:23

Décrypter la physique comme science de l’interface de l’être humain et de la Nature !

 

Pourquoi les connaissances en physique fondamentale sont perçues, appréhendées, comme des connaissances de premier rang. Cela a été explicité par Descartes avec son arbre de la connaissance, dont le tronc représente la physique, les racines plongent dans la métaphysique, et les autres connaissances sont les branches qui se rattachent au tronc.  

Les lois du corpus de la physique fondamentale sont des lois que notre intelligence a pu prélever grâce à l’observation et à l’apparente compréhension des lois de la nature. On peut considérer que les lois de cette physique fondamentale sont des lois qui nous renseignent à propos de ce que nous ne sommes pas dans la mesure où l’objectivation a priori et la mathématisation des lois confirment qu’elles sont accessibles à notre regard intellectuel qui est capable de scruter ce qui est en dehors de ce que nous sommes. En contrepartie, la conquête de tout savoir fondamental, comme celui relatif aux propriétés de la Nature, enrichit à coup sûr, l’être humain que nous sommes, et à ce titre, de palier en palier c’est sur une trajectoire évolutive, positive, que l’on peut figurer les capacités humaines de s’émanciper de l’obscurité des lois de la Nature grâce à nos facultés à les décrypter. (Pensez, 1 - qu’avec les lois de Newton, avec la connaissance de l’attraction terrestre, le poids de notre corps s’explique et du temps de Newton on peut imaginer l’effet libérateur de la compréhension de la pesanteur du corps humain. Et à partir de là on peut concevoir que c’est une relation nouvelle, un entendement nouveau, qui se mettent en place entre l’être humain et la planète terre.  2 - On peut aussi imaginer qu’avec la découverte les lois de Maxwell, il y a une avancée remarquable de l’optique et… de l’anatomie, le récepteur de la lumière qu’est notre œil est devenu le centre d’un questionnement de notre relation avec le monde extérieur et la formation de notre propre représentation de ce monde. Ce n’est pas par hasard si concomitamment la question de ‘Voir’ a été posé sous la forme : « Les couleurs sont-elles une propriété de la lumière ou une sensation ? La réponse de Maxwell est la suivante : « La science des couleurs doit être considérée essentiellement comme une science de l’esprit (sic)[1]. »3 - Plus récemment c’est grâce à la connaissance des lois physiques conduisant à la production des images cérébrales en conjonction avec les sciences cognitives que nous sommes à même, dorénavant, de prospecter le fonctionnement de notre cerveau, siège de notre faculté de penser[2] et d’éprouver des émotions. Cela n’est pas banal et ce n’est pas par hasard que le ‘Human Brain Project’, projet européen, est le centre de conflits de pouvoirs scientifiques antagoniques. Ce n’est pas par hasard que les autorités Américaines ou Chinoises annoncent respectivement des financements de l’ordre du milliard de dollars. 4 - Enfin n’oublions pas, et cela doit nous interpeller, que les premiers briques du monde vivant : les acides aminées à la base des protéines, sont obligatoirement lévogyres, et c’est la lumière stellaire ultraviolette qui forge cette sélection. Ce serait donc une loi physique qui structure au niveau le plus fondamental, le fait que nous soyons !!)

Néanmoins, nous devons accepter, en toute humilité, que le physicien est engagé dans un mouvement sans fin de dévoilement et… de voilement. Ce fut perçu chez les premiers penseurs grecs. Ainsi Héraclite a exprimé l’aphorisme : « la Nature aime à se voiler[3]. » Nous pourrions en déduire : « Ce que nous ne sommes pas, aime à se voiler. » Donc ce que potentiellement nous sommes s’inscrit dans ce mouvement prométhéen de voilement et dévoilement. La déesse de la Nature : Atémis-Isis, est toujours représentée voilée (dans l’antiquité et jusqu’à Goethe, seul le poète est à même de lever le voile d’Artémis-Isis. Voir la gravure où Apollon, génie de la poésie, dévoilant la statue d’Isis-Artémis.)

L’ancêtre du mot physique : ‘phusis[4] : nature,  qui renvoie à la métaphore des « secrets de la nature » devrait sans cesse nous rappeler que le physicien éprouve des difficultés à connaître d’une façon irrémédiable les phénomènes naturels et à construire la partie « physique » de la métaphysique et de la philosophie de la Nature.   

Corréler la connaissance des lois de la nature à la connaissance propre de l’être pensant qui en est le révélateur, c’est peut-être mettre en relief ce qui constitue le frein majeur à toute remise en cause de la conception réaliste de la majorité des physiciens. Cette conception réaliste est très ancrée dans l’esprit des physiciens, même ceux qui sont imprégnés, par leur formation, par les sujets de mécanique quantique qu’ils traitent quotidiennement, finissent le plus souvent, consciemment ou inconsciemment, par rechercher et concevoir un monde réel quantique. Le plus souvent cela consiste de la part de ces physiciens à accepter le formalisme mathématique de la mécanique quantique tout en rejetant sa signification, telle qu’elle fut dégagée par l’école de Copenhague. Les références historiques de ce rejet depuis un siècle ne manquent pas. Ce fut l’objet particulier du précédent article : ‘Une étonnante régression’, en ce qui concerne le travail de C. Rovelli.

Selon les réalistes, leur savoir révèle ce qui est, ce qui s’explique rationnellement. L’indéterminé est repoussé. Saisir ce qui est en dehors de soi, garantit en retour à celui qui en a la conviction, une assurance sur ce qu’il est en tant que sujet pensant. Cette assurance justifie de la part de celui qui en est le détenteur une autorité intellectuelle, pour s’en rendre compte il suffit de lire par exemple les premières phrases de l’article EPR : Si, sans perturber le système en aucune façon, nous pouvons prédire avec certitude la valeur d’une grandeur physique, alors (sic) il existe un élément de la réalité physique correspondant à cette grandeur physique – et une condition de complétude pour une théorie physique – chaque élément de la réalité physique doit avoir un correspondant dans la théorie physiquesinon la mécanique quantique ne permet pas une description complète de la réalité physique. N. Bohr répondra que les arguments de l’article EPR ne font que démontrer : « l’inadéquation essentielle du point de vue ordinaire de la philosophie naturelle pour une analyse rationnelle des phénomènes quantiques et non pas l’incomplétude de la mécanique quantique. » L’article[5]EPR date de 1935, la mort d’Einstein en 1955, celui-ci n’acceptera jamais les fondements de la mécanique quantique, pourtant ils ne furent jamais contredits et il en fut témoin. Mais voilà la philosophie de Bohr violait un idéal de représentation du monde physique qu’il ne pouvait abandonner. On peut même dire que c’était viscérale, dans une lettre à Schrödinger, il écrivait : « La philosophie (ou la religion) lénifiante de Heisenberg-Bohr est subtilement agencées de manière à fournir, provisoirement, à celui qui y croit de profonds coussins dont il peut difficilement s’extirper. Laissons-le donc s’y reposer. »

En tant que réaliste, annoncer en toute certitude ce qu’il y a dans la Nature, ce qui est de l’ordre de la Nature, garantit en retour qu’il n’y a pas matière à s’interroger sur le statut de l’être connaissant et il suffit d’être convaincu de la dynamique irréversible de la conquête du ‘Il y a’ dans la Nature, et ainsi de suite, se remettre sur le métier pour engendrer de nouvelles découvertes d’’Il y a’.

Sans vouloir faire des extrapolations incongrues, il est légitime de tenir compte de ce que Einstein écrit lui-même : « Je crois, avec Schopenhauer que l’un des motifs les plus impérieux qui conduit les hommes aux arts et à la science est la fuite de la vie quotidienne avec sa douloureuse cruauté et sa sécheresse sans espoir. » Et puis il est vraiment explicite quand il écrit à son ami H. Broch : « Ce livre me montre clairement ce que j’ai fui en me vendant corps et âme à la Science : j’ai fui le JE et le NOUS pour le IL du ‘IL y a’. » Le livre en question était la ‘La Mort de Virgile’, cadeau offert par cet ami, H. Broch, et Einstein exprimait à la fois, dans une lettre de remerciement, la fascination et la résistance acharnée suscitées par la lecture de l’œuvre. On pourrait rappeler avec une dose raisonnable d’ironie qu’un individu, un sujet, qui fuit, résiste, est toujours extrêmement là, présent,… à son insu, à son corps défendant… Marie-Antoinette Tonnelat : scientifique et femme de lettres, avait qualifié avec indulgence et poésie, « ce troc de l’irisation du ‘je’ et du ‘nous’ par le dépouillement du ‘il y a’ », mais selon elle, il fallait aussi en payer le prix. D’après son expérience, en guise de conclusion, elle n’hésite pas à affirmer : « Cette propulsion négative est, néanmoins, certainement beaucoup plus fréquente qu’on ne le dit. »

L’école de Copenhague ne définit pas l’objectivité de la mécanique quantique comme étant une théorie qui porte, ou prétend porter, sur ce qui est. En effet fondamentalement l’école de Copenhague impose de renoncer à cet idéal classique. Renoncement douloureux, déstabilisateur, inconcevable pour les réalistes, qui encore aujourd’hui, mutatis mutandis, malgré le théorème de Bell et le résultat de l’expérience d’A. Aspect, ne peuvent renoncer à croire soit à l’existence d’une réalité indépendante de nous-mêmes, soit à la possibilité – si celle-ci « existe » - de la décrire telle qu’elle est.

Renoncer à l’assurance de prendre appui sur le ‘Il y a’ de la Nature pour mettre en relief les lois physiques, tel est le critère paradigmatique de la mécanique quantique. Le discours scientifique ne peut s’appuyer que sur l’apparaître lorsque nous scrutons les propriétés de la Nature qui pourraient prévaloir aux échelles de l’infiniment petit. Un apparaître, au sujet pensant, ondulatoire ou granulaire, cela dépend de l’appareil d’observation, choisi par l’observateur, et des conditions de son exploitation. S’il y a une impossibilité d’acquérir une information spatio-temporelle de la part de l’observateur : c’est une empreinte ondulatoire (dispersion spatio-temporelle) qui s’impose à celui-ci, si au contraire l’observateur reçoit une information spatio-temporelle du passage de l’objet quantique c’est le caractère granulaire de l’objet qui s’impose à lui.

De même un apparaître intriqué s’impose au sujet pensant, s’il y a des conditions initiales qui font que deux objets ne peuvent être différenciés spatio-temporellement, alors, après coup, l’observateur ne pourra plus les distinguer même si chacun des objets a un destin spatio-temporel différencié. L’observateur ne peut récupérer un savoir sur ‘qui est qui’ d’entre les deux, la non localisation de ‘l’un et de l’autre’ perdure. Les exemples qui mettent en jeux un questionnement sur les facultés de l’observateur ne manquent pas. Toutefois le questionnement suivant persiste : « Est-ce qu’à l’échelle quantique les objets se comportent concrètement tels que nous les percevons ? Ou bien est-ce nous observateurs, qui sommes en cause avec ces perceptions paradoxales mais absolument effectives? »

Il est certain que les physiciens répugnent à intégrer les facultés du sujet pensant dans le corpus de la théorie quantique pour le faire évoluer. E. Wigner (1902-1995) fut un des rares physiciens à tenter d’insérer la conscience du sujet pensant dans ce corpus, dans une certaine mesure on peut considérer que les propositions d’Everett relèvent d’une tentative semblable. En fait la ‘toute puissance’ de la conception réaliste s’exprime chez les physicalistes[6], qui eux, renversent complètement la situation en considérant, avec l’autorité de leur croyance, que ce qui fait que nous sommes des ‘sujets pensants’, peut être décrit par le corpus unique de la physique. On a le droit de s’inquiéter de cette conception réductrice de l’être humain

Chez les scientifiques anglo-saxons, cette conception physicaliste est significative. R. Penrose, en est un représentant qui s’est toujours affirmé comme tel.

Considérons que la connaissance en physique nous amène à nous interroger et à enrichir la compréhension de l’être humain parce que la physique est aussi une science de l’interface, de la relation très active (au point que l’on pourrait aussi dire de la confrontation), entre la nature et l’être humain. A ce titre, il est possible de déclarer qu’il n’y a pas de monde quantique. Les lois de la mécanique quantique nous informe sur la perception que nous avons des propriétés de la Nature lorsque nous scrutons celle-ci aux échelles de l’infiniment petit. Les propriétés de la mécanique que nous mettons en relief, nous rappellent que nous sommes des sujets pensants, forgés, moulés, d’une façon irréversible, dans le monde macroscopique classique et à ce titre nous véhiculons des déterminations de notre façon, de penser, de décrypter, les propriétés de la Nature qui sont irrémédiablement inscrites… dans nos gènes. C’est ce que nous dit, J. C. Maxwell que j’ai déjà cité : « Il doit y avoir quelque chose, dans notre nature spécifique, qui détermine la forme de ces lois. » Ce que j’ai très souvent exprimé est quelque peu différent de Maxwell, mais in fine, aboutit à la même conséquence. Ma conception s’appuie sur le fait que nous sommes des êtres déterminés à cause de notre nature spécifique, et les lois de la Nature que nous mettons en évidence sont marquées par cette spécificité et elles ne doivent pas être considérées comme universelles.

Si nous franchissons le cap de comprendre et d’admettre que la science physique actuelle est une science qui nous dit tout autant ce qui relève de la Nature que ce qui relève de notre nature spécifique, alors je fais le pari que cette intelligence-là, nouvelle, permettra de mettre en avant des nouveaux paradigmes qui conduiront à de nouvelles connaissances émancipatrices et qui déchireront le voile de nos ignorances actuelles. Ne doutons pas qu’à nouveau ces nouveaux bagages de connaissances mettront en lumière de nouveaux voiles que l’être humain nouvellement instruit devra soulever.

Depuis plusieurs années, j’ai formulé des hypothèses qui permettent de franchir ce cap et qui ont été déjà discutées dans plusieurs articles du blog :

1 – L’être humain est le fondateur du temps qui est la marque de la ‘Présence’ du sujet pensant qui ainsi, grâce à une scansion primordiale, est à même de développer un logos sur la Nature telle qu’il est en mesure de la prospecter. Le tic-tac primordial de ce temps est TpS, de l’ordre de 10-25s.

2 – Il en est de même en ce qui concerne l’espace, à plus qu’une nuance près, car l’idée de l’espace est présente dans la Nature mais du processus d’appropriation, d’intériorisation, par le sujet pensant, en fonction des conditions de ses possibilités cognitives, il en résulte une telle transformation, qu’elle a la valeur d’une fondation.

3 – 1 et 2 sont deux hypothèses susceptibles d’être soumises à l’expérience, lorsqu’on entreprendra l’expérience qui consiste à imager le fonctionnement cérébrale d’un observateur placé devant un interféromètre qui n’a pas d’information spatio-temporelle sur l’objet quantique qui se déplace dans l’interféromètre, ceci en contraste avec la situation où il a cette information spatio-temporelle. Selon mon hypothèse ce sont deux régions distinctes du cerveau de l’observateur qui sont sollicitées suivant les deux situations contrastées.

4 – Pour préciser 1, je qualifie TpS de point aveugle de l’intelligence humaine et, à mon sens, ce ‘Temps propre du Sujet’ est en jeu avec le phénomène de l’intrication car celle-ci se produit entre deux objets qui pour nous est instantanée donc < 10-25s. 

5 – Contrairement à l’espace et au temps, la lumière céleste est donnée dans la Nature, en tous les cas dans la Nature telle que nous la percevons. En tenant compte de 1 et 2, étant donné que nos capacités de description de cette lumière s’expriment aux moyens de paramètres qui sont fondés par le sujet pensant on doit admettre que notre compréhension de la lumière ne peut être qu’approximative. Pour cette raison, j’ai déjà proposé de considérer la vitesse C comme une vitesse horizon et non pas ayant la valeur déterminée finie que couramment nous lui attribuons. En cosmologie, cette hypothèse devrait permettre de lever bien des voiles car la lumière céleste enveloppe nos connaissances actuelles dans ce domaine. Voir article de R. Lehoucq dans le ‘Monde’ du 18 mars 2015 : ‘La lumière, témoin de la « formation des mondes. »’



[1] Je profite de l’occasion pour préciser qu’à mes yeux, J. Maxwell est un physicien qui a développé une pensée ouverte, d’avant-garde, et qui devrait être mieux connu. Je le cite encore, pour être plus exhaustif à son égard : « si la  sensation que nous appelons couleur, obéit à quelque ensemble de lois, il doit y avoir quelque chose, dans notre nature spécifique, qui détermine la forme de ces lois. Et il n’est pas nécessaire que je vous dise que la seule preuve que nous puissions obtenir à notre sujet dérive de la conscience. La science des couleurs doit dons être considérée essentiellement comme une science de l’esprit… »

[2] Cela ne doit surtout pas nous conduire à penser qu’il existerait des mécanismes (une machinerie) de la connaissance comme par exemple, cela peut être prétendu sur le blog ‘Philoscience’

[3]Effectivement, à notre époque, en cosmologie, un voile opaque, noir, recouvre 95% de ce qui devrait composer notre Univers, et en ce qui concerne la mécanique quantique, il y a tellement de domaines qui échappent à notre compréhension classique que tous ces voiles ne font plus qu’un, au point que B. d’Espagnat a pu écrire, à ce sujet, un livre en 1994 : ‘Le réel voilé’

[4] Philon (13 av. J. C. – 54 apr. J. C.), a souvent utilisé le mot phusis pour désigner soit la Nature qui produit les êtres, soit le cours général de la nature, soit la nature d’une chose. Philon entend par le mot phusis, la réalité ou vérité cachée qu’il faut découvrir au-delà de la lettre… On retrouve, la démarche, l’obsession, Einsteinienne de l’hypothèse des variables cachées pour retrouver le contact avec le monde physique réel.

[5] C’est donc le concept de réalité physique séparable qui est au cœur du débat. Pour Einstein, le monde peut être conçu comme formé d’entités localisables dans l’espace-temps, munies de propriétés qui constituent leur (sic) réalité physique. Ces entités ne peuvent interagir que localement au sens relativiste, c’est-à-dire via des interactions ne se propageant pas plus vite que la lumière. Une telle conception du monde est appelée réaliste locale, ou séparable. Bohr propose une version différente, en refusant de considérer une réalité physique indépendante de l’appareil de mesure, donc indépendante de l’observateur.

[6]Physicalisme : théorie épistémologique néopositiviste qui affirme que le langage de la physique peut constituer un langage universel convenant à toutes les sciences. De Otto Neurath : « Selon le physicalisme, la langue de la physique est la langue universelle de la science et, par conséquent, toute connaissance peut être ramenée aux énoncés sur les objets physiques ».

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